Un engrenage est un mécanisme élémentaire composé de
deux roues dentées mobiles autour de deux roues dentées mobiles autour d’axes de
position relative invariable. L’une des roues entraîne l’autre par l’action des
dents successivement en contact. La roue qui a le plus petit nombre de
dentsest appelée pignon. Suivant la position relative des axes des
roues, on distingue :
·Les engrenages parallèles (axes
parallèles) ;
·Les engrenages concourants (axes concourants) ;
·Les engrenages gauches (les axes ne sont
pas dans un même plan).
Nomenclature
Figure 1 : Nomenclature of spur-gear teeth
R. Budynas, K. Nisbett, Shigley’s Mechanical Engineering Design, McGraw-Hill Education, 2010. https://books.google.fr/books?id=eT1DPgAACAAJ.
La terminologie de la roue et engrenage cylindrique denture droite est illustré Figure 2.
Caractéristiques d’une roue à denture droite normale
(α = 20°)
Figure 2 : Caractéristique dimensionnelle
Figure 3 : caractéristique mécanique
R.Budynas, K. Nisbett, Shigley’s Mechanical Engineering Design, McGraw-HillEducation, 2010. https://books.google.fr/books?id=eT1DPgAACAAJ.
Le module est le rapport du diamètre primitif (pitch
diameter) et le nombre de dent.
Figure 4 : Modules normalisés
A. Chevalier, Guide du dessinateur industriel: pour ma{\^\i}triserla communication technique, Hachette, 2003. https://books.google.fr/books?id=HRKEMwEACAAJ.
Exemple de conception d’un engrenage cylindrique denture droite
Diamètre primitif : dp (mm)= m*Z
120
Angle
de pression α
20°
Diamètre de pieds : df (mm) = dp-2.5*m
105
θ1
= tan (α)-α
0,0149044
Diamètre de base : db (mm) = dp cos (α)
112,763
Z
ou N
20
Diamètre de tête : da = dp+2*m
132
m
(module)
6
Epaisseur : S = πm/2
9,424777
r
en mm
ɸ
(°) =acos(rb/r)
θ (°)
= tan(ɸ)-ɸ-θ1
x
= - r sin θ
y
= r cos θ
rf
= df/2
52,5
rb
= rb/2
56,382
0
-0,853958292
0,840301261
56,37529504
58,794
16,44424914
-0,387049457
0,397114439
58,78482662
rp
= dp/2
60
20
0
0
60
62
25,38015042
0,947606625
-1,032053795
62,396076
64
29,54578071
2,077115758
-2,348982275
64,76663846
ra
= da/2
66
31,32125793
2,690286801
-3,097849321
66
On symétrise le profile à ((360/20)/4)=4,5°
H.H. Lee, Finite Element Simulationswith ANSYS Workbench 12, Schroff Development Corporation, 2010. https://books.google.fr/books?id=nbKDRAAACAAJ.
Les micros actionneurs sont l’un des plus importants
composant dans les systèmes micro électromécaniques. Les plus simples et les
plus rincent éléments actionnant sont des
micros leviers. Dans les dernières années 80 les micros actionneurs ont reçu
une augmentation d’attention quand la commande électro statiquement de micro
moteur commence à apparaître. Aux cours des 15 dernières années, plusieurs type
de micro actionneur utilise des commandes de forces variées(exemple : l’électrostatique,
l’électromagnétique, le piézoélectrique, l’alliage à mémoire de forme (SMA)
etc.) qui ont été développé. L’actionneur piézoélectrique est l’un des
principes d’actionneur le plus populaire utilisé pour le micro actionneurs.
L’actionneur piézoélectrique génère une importante
force mais seulement pour un petit déplacement en appliquant une tension à un
matériau piézoélectrique. Généralement
utilisé pour des conceptions sont les éléments bimorphes et des structures
multi couches. En outre, de plus en plus de poutre composite monomorphes sont
employée pour répondre à l’exigence des applications spéciales.
L’actionneur piézoélectrique est employédans plusieurs applications comme l'Hydrophones (hydrophones),
l'Imprimante à jet d’encre (Inkjet printers)
le Ventilateur électrique (electric fan)
le Contrôle acoustique (acoustic control)
Microphones
Capteur tactile (Tactile
sensor)
Micro moteurs (micromotors), etc.
Les principaux avantages des actionneurs sont leurs
grandes précisions, leurs vitesses et leurs puissances mécaniques. Dans ces applications, des matériaux céramiques
piézoélectriques comme l’oxyde de zinc et le PZT (Lead Zirconate Titanate) sont
les plus fréquemment utilisés, comme ils présentent un important coefficient
piézoélectrique. Cependant, la difficulté majeure associée à leur utilisation
dans beaucoup d’application est l’exigence de technologie avancée de dépôt et
d’installation de préparation de couche mince stœchiométrique. De plus, ils
sont habituellement très fragiles et ont un relatif important module d’Young.,
limitant la déformation réalisable. Des polymères composites actifs composés de
céramique piézoélectrique et epoxies sont fabriqués pour compenser ces
désavantages. Des polymères piézoélectriques comme le PVDF (polyfluorore de
vinylidène) et ces copolymères peuvent surmonter quelque un de ces difficultés
bien qu’ils ont un relativement faible coefficient piézoélectrique. Faible
nombre de valeur de module d’Young de ces polymères ont un potentiel pour
autoriser d’importante déformation d’actionneurs piézoélectriques.
Les caractéristiques spéciales des polymères
piézoélectriques ont attiré l’attention de plusieurs chercheurs de différentes
disciplines. Beaucoup d’appareils ont été conçu de ces matériaux depuis 1980. Une
longue liste de document et de patente peuvent être trouvée sur des manuels
techniques de capteur à couche piézo de spécialiste de mesure. Dans certains de
ces appareils, des PVDF ont étéutilisé
plus souvent dans leur forme de couche mince, l’un ou l’autre étiré ou fixé. La
capacité de calquer du PVDF dans des formes et des tailles exigéesest hautement désirable dans le but
d’augmenter les domaines d’applications, particulièrement dans les échelles millimétrique
et micrométrique. Quelque méthode différente sont employée pour modéliser le
PVDF, incluant l’utilisation d’un laser excimère, une source lumineuse UV, des
rayons X, du gaufrage à chaud. Chaque méthodes possède ces forces et ces
problèmes.
M.Schwartz, Smart Materials, CRC Press, 2008.
FERROELECTRIQUE/PIEZOELECTRIQUE
Les ferroélectriques sont des matériaux présentant une
polarisation diélectrique spontané et un effet hystérésis dans la relation
entre les déplacements diélectrique et les champs électriques. Ces
comportements ferroélectriquessont
observés seulement en dessous de la température de transition Tc appelé aussi température de Curie. Au-dessus la température de Curie, les matériaux ne sont pas
longtemps ferroélectriques et montrent un comportement diélectrique.
Les phénomènes ferroélectriques ont été pour la première
fois observé en 1920 par Valasek dans le sel
de roche (KNaC4H4O6.4H2O). Dans ca description, Valasek
soulève l’attention sur l’analogie avec le phénomène ferromagnétique.
Ferro est un préfixe associé avec des matériaux contenant du faire. Mais la nature
de l’hystérésis dans la relation entre les déplacements diélectriques et les
champs électriques est remarquablement similaire à la relation
du champ d’induction magnétique pour des matériaux ferromagnétiques. Les
matériaux ferromagnétiques contiennent généralement du fer. Les
ferroélectriques sont nommés après la boucle d’hystérésis similaire et rarement
contenant du fer comme un constituant signifiant.
E.A.Avallone, T. Baumeister, A.M. Sadegh, Marks’ Standard Handbook for MechanicalEngineers, McGraw-Hill Education, 2006.
Phonograph cartridges.
microelectromechanical
systems
Air transducers/Ultrasonic
transducers.
Actuators.
La piézoélectricité estrencontrée dans certain classe de matériau
cristallin. La déformation des matériaux résulte du changement de polarisation
(l’effet piézoélectrique directe) : les positions des charges positives et
négatives dans le cristallin sont déplacées relativement les uns les autres,
causant une polarisation nette ou un changement dans la polarisation
intrinsèque. La Figure 1 montre une représentation 2D
simplifiée de cet effet.
P.P.L.Regtien, Sensors for Mechatronics, Elsevier Science, 2012.
Dans la Figure 1A structure est pleinement
symétrique : le centre de gravité de toutes les charges positives est
déplacé vers le bas, résultant une polarisation non zéro. Dans le cas d’une
compression verticale, (Figure 1C), le centre des charges positives est
orienté vers le haut, résultant une polarisation non-zéro dans l’autre
direction. Cette orientation des charges positive relativesaux charges négatives produit des charges
opposées sur les surfaces opposées du cristallin. Evidemment la Figure 1 est une forte représentation
simplifiée du phénomène piézoélectrique. La structure cristalline, additionnée
de dopants et d’autre traitement du matériau détermine substantiellement les
propriétés piézoélectrique.
Les matériaux piézoélectriques sont des diélectriques
dont les propriétés électriques dépendent des contraintes mécaniques appliquées
et des déformations dont le comportement contrainte déformation dépend du champ
électrique appliqué ou de la tension.Ces matériaux sont largement utilisés dans ce qu’on appelle « les
matériaux innovants / Smart structures » pour des capteurs et des
actionneurs. Quelques configurations sont montrées sur la .
Figure 2 : (a) Vector components of stress T1, elastic strain S1, and electric field E3 in a piezoelectric actuator-sensor. (b) Piezoelectric stack actuator. (c) Piezoelectric bender actuator.
Ces matériaux se comportent anisotropiquement
dans leurs propriétés tension contrainte déformation. L’un des matériaux
les plus populaires sont les céramiques PZT (Titano-Zirconate
de Plomb) (ou LZT pour les anglophones, pour "Lead Zirconate
Titanate").
P.P.L.Regtien, Sensors for Mechatronics, Elsevier Science, 2012.
Les matériaux piézoélectriques peuvent être subdivisés
en trois catégories.
1. Les monocristallins comme le Quartz
2. les céramiques piézoélectriques comme le titanate
de baryum (BaTiO3) ou du PZT
3. des polymères comme le PVDF (polyfluorore de
vinylidène)
F.C. Moon, Applied Dynamics: With Applications to Multibody and Mechatronic Systems, Wiley, 2008.
Constitutive Equations and Material Properties of Piezoelectric Systems
M.Kaltenbacher, Numerical Simulation of Mechatronic Sensors and Actuators,Springer Berlin Heidelberg, 2013.
Piezoelectric
beam actuator Hamilton’s principle
A. Preumont, Mechatronics: Dynamics ofElectromechanical and Piezoelectric Systems, Springer Netherlands, 2006.
A.R. Jha, MEMS and Nanotechnology-Based Sensors and Devices for Communications, Medical and Aerospace Applications, Taylor & Francis, 2008.
Les alliages à mémoire de forme (AMF ou Shape Memory
Alloys SMAs) sont des métaux qui, après être déformés, à une certaine
température reviennent à leur forme originale. Un changement dans leur structure cristalline
au-dessus de leur température de transformation cause leur retour à leur forme
initiale. Ils présentent deux propriétés très unique :
La pseudo-élasticité et l'effet mémoire de forme.
L’effet mémoire de forme a été premièrement découvert
par le physicien suédois Arne Olander en
1932, qui a utilisé un alliage d’or (Au) et du cadmium (Cd), mais pas avant les
années 60, que les recherches avancées sérieuses sont faites dans la direction
des alliages à mémoire de forme. Dans les débuts des années 60, des chercheurs
de U.S. Naval Ordnance Laboratory ont découvert l’effet mémoire de forme dans
l’alliage titane (Ti) nickel (Ni) et ils l’ont nommé Nitinol
(un acronyme pour Nickel Titanium naval Ordnance Laboratory). Encore, pas avant
les débuts des années 70 que quelques produits commercial actifs apparaissent
qui mettaient en œuvre des alliages à mémoire de forme. Les plus efficients et
largement utilisés des alliages à mémoires de forme inclurent (nickel-titane),
CuZnAl, et CuAlNi. Des alliages à mémoire de forme (AMF) présentent aussi un comportement
pseudo-élastique, lequel est le nom générique pour le comportement du
caoutchouc et de la super élasticité. L’effet mémoire et la pseudo-élasticité,
tous les deux sont principalement provoqués par transformation de phase à
l'état solide du matériau. Il y a deux phases stables dans les alliages à
mémoire de forme.
- Martensite à basse température et austénite à haute
température.
La Martensite (selon le scientifique Allemand Martens) était originalement utilisée
pour concevoir des micros constituants durs formés dans les tiges trempées
d’aciers. Maintenant c’est utilisé dans un large contexte applicable à des
produits de transformation martensitique. Certaines transformations ont lieu
dans des solides cristallins par des déplacements coordonnés d’atomes où
molécules à travers des distances plus petites que des distances interatomiques
dans les phases parentales. Pour cette raison les transformations sont décrites
comme êtresans diffusion.
L’Austénite était le nom originalement donné la
structure Crystal cubique face centrée du fer. Il est aujourd’hui utilisé dans
un large contexte pour d’autres métaux, des alliages avec des structures
cubiques.
En général, un AMF commence la transformation martensitique à une température Ms pendant le
refroidissement. La transformation est complète quand la température
basse Mf est atteinte, où le matériau est dit être dans l’état martensitique.
Au-dessus d'une certaine température As, le
matériau commence la transformation de retour à l’austénite
et la transformation est complète à haute
température, Af.
Figure 1 : Schematic sketch of NiTi microstructure. (a) Austenite; (b) martensite (twined).
Une illustration schématique des deux phases de nitinol, lequel
est un typique AMF qui contient un proche mixte de nickel (55 wt.%) et titane,
comme montré sur la Figure 1. Si aucune force n’est appliquée pendant
le chauffage ou le refroidissement, la microstructure de l’alliage changera
sans changement remarquable forme macroscopique. Dans la condition martensite,
un alliage peut être facilement déformé dans une nouvelle forme par des
mécaniques atomiques non conventionnelles. L’alliage restera dans une nouvelle
forme autant que la température est gardée constante. Le chauffage causera la
transformation retour de la phase austénite du matériau et restaurera ces formes
originales. L’effet de restauration est appelé l’effet mémoire de forme Figure 2.
Figure 2 : Schematic microstructure diagram of the shape memory effect.
Dans des cas, l’effet mémoire est un chemin, qui
signifie que, au-dessus du refroidissement, un AMF ne subir pas un changement
de forme, même si la structure revient à la martensite. Quand la martensite est
déformée à quelque pour cent, cependant, cette déformation est conservée avant
que le matériau est encore chauffer, à quel temps la restauration de forme se
produit. Au-dessus du refroidissement, le matériau ne change pas spontanément
de forme, mais doit être délibérément déformé si la restauration de forme est
désirée. C’est possible dans certain AMF de provoquer deux chemin de mémoire de
forme. C’est-à-dire, le changement de forme se produit au-dessus des deux,
chauffage et refroidissement. La quantité de changement de forme est toujours
moins signifiante que celui obtenu avec un chemin d’effet de mémoire de forme,
et une très petite contrainte peut être exercée par l’alliage comme s’il essaie
d’encaisser ca forme à température basse. Le changement de forme au chauffage
peut encore exercer très grande force, comme avec la mémoire dans un chemin.
L’AMF présente aussiun comportement pseudo-élastique. Contrairement à l’effet mémoire de
forme, la pseudo-élasticité se produit sans un changement de température. Dans
les conditions austénite, un AMF subi une transformation de phase de
l’austénite à la déformé martensite (ou contrainte induit martensite) quand une
contrainte est appliqué. Une fois la contrainte est réalisé, le matériau
retourne à l’état austénite, ce qui signifie ca forme est restauré. Ceci est
appelé super élasticité. Une courbe contrainte déformation est montré dans la Figure 3.
Figure 3 : Schematic stress-strain curve of a NiTi alloy loaded above Ms temperature and then unloaded. Stress-induced martensite (SIM) is formed during loading, which disappears upon unloading.
Figure 4 : Load diagram of the superelastic effect above Af temperature.
Tandis la courbe chargement température de la figure
montre la procédure de transformation pendant un cyclechargement et déchargement.
Ce comportement caoutchouteux a été observé en 1932 par Olander, qui étudiait un alliage Au-Cd. Ce phénomène
a été trouvé dans quelque système AMF comme Cu-Al-Ni, Cu-Au-Zn, et Cu-Zn. Considérant
l’alliage Au-Cd, il est intéressant de remarqué que le comportement
caoutchouteux est trouvé seulement après que la martensite est affinée à
température ambiante à la fin de quelque heure. Récemment des éprouvettes
transformées présentaient l’effet mémoire de forme et des barres pliées ne
retourneront pas en ressort à leur forme originale sans affinage. Le comportement
caoutchouteux constitue aussi un type
mécanique de mémoire de forme comme le fait le procédé de superplasticité, et
en effet, ces deux phénomènes ne peuvent être distingués sur les courbes
basiques de contrainte déformation seulement. Mais le comportement
caoutchouteux est caractéristique d’une structure martensitique, tandis que le
comportement super élastique est associé avec la formation de martensite de la
phase parentale sous la contrainte. Ces deux types de comportement collectivement
tombent dans la catégorie pseudo élasticité. L’AMF
commercial la plus valide est l’alliage NiTi et l’alliage à base de cuivre. Des
propriétés des deux systèmes sont un peu différentes. L’alliage NiTi a une
meilleure déformation de mémoire de forme (supérieur à 10% contre 4 à 5% pour l’alliage
à base de cuivre), tendant à être plus
stable thermiquement, et a une excellente résistance à la corrosion, et a une
grande ductilité. D’autre part, l’alliage à base de cuivre est moins chère,
peut être mélangé et extrudé dans l’air avec facilité, et a un large domaine de
température de transformation potentiel. Les deux systèmes d’alliages qui ont des avantages et des désavantages qui
doit être considérer dans des applications particulières.
E.A. Avallone, T. Baumeister, A.M. Sadegh, Marks’ Standard Handbook for Mechanical Engineers, McGraw-Hill Education, 2006.
T. Brezina, R. Jablonski, Recent Advances in Mechatronics: 2008 - 2009, Springer Berlin Heidelberg, 2009.
M. Schwartz, Smart Materials, CRC Press, 2008.
Application
Nitinol Glasses
Kinitics Automation direct-drive linear actuators (based on shape-memory alloys) at IMTS